Popular ▼   ResFinder  

UFSC Vestibular de 2003 - PROVAS 2 - Areia 2

13 páginas, 24 perguntas, 0 perguntas com respostas, 0 respostas total,    0    0
vestibular
  
+Fave Message
 Página Inicial > vestibular > UFSC (Universidade Federal de Santa Catarina) >

Formatting page ...

FRANC S 01) Signalez la (les) proposition(s) CORRECTE(S). D apr s le texte, nous savons que ... TEXTE 1 Les maisons de l adolescence La soci t doit entendre les adolescents, les aider et non pas les d signer comme des coupables et des fauteurs de troubles*. En France, on s occupe bien des enfants tr s jeunes, par contre, on est nettement moins performant avec les adolescents. Aujourd hui, les adolescents sont rarement pris en compte, par exemple, par les structures de soins*. La p diatrie s arr te 15 ans et trois mois. On met donc les adolescents en service d adultes, or ils ont besoin d une place sp cifique, que ce soit l h pital ou dans la soci t . En France, les maisons de l adolescence peuvent remplir ce r le. Ils peuvent y recevoir des consultations pluridisciplinaires (m decine g n rale, p diatrie, gyn cologie, dermatologie, etc). S ils ont une souffrance quelconque, qu elle soit psychique ou autre, ils sont accueillis, orient s, soign s. Apr s la cr ation de la maison de l adolescence du Havre, il y a deux ans, il va s en ouvrir une seconde en 2003 Paris proximi t de l h pital Cochin et Bobigny, en banlieue parisienne*. La maison de l adolescence r pond donc une demande importante. L adolescence est aussi une question qui concerne les pouvoirs publics, notamment dans le domaine de la sant . Il f audrait que les consultations de p diatrie aillent jusqu dix -huit ans et que, dans les h pitaux, il y ait syst matiquement des unit s sp cialis es qui prennent en charge les adolescents. 01. la soci t s occupe aussi bien des adolescents que des enfants. 02. les adolescents sont consid r s comme des f auteurs de trouble par la soci t . 04. la soci t s occupe des coupables et des f auteurs de trouble. 08. la soci t d signe les adolescents comme des coupables. 02) Signalez la (les) proposition(s) CORRECTE(S). Le texte nous informe que (qu ) ... 01. les services de p diatrie s adressent aux adolescents de plus de 15 ans et 3 mois. 02. c est partir de 15 ans et 3 mois que les adolescents b n ficient des structures de soin de p diatrie. 04. partir de 15 ans et trois mois, les adolescents ne peuvent plus s adresser aux services de p diatrie. 08. partir de 15 ans et 3 mois, les adolescents sont orient s vers les services d adultes. 16. partir de 15 ans et 3 mois, les adolescents ont besoin d une consultation sp cifique dans les structures de soins. (Texte adapt et extrait de Les cl s de l actualit , n. 485, 2002) 03) Signalez la (les) proposition(s) CORRECTE(S). Vocabulaire: des fauteurs de troubles = perturbadores, encrenqueiros les structures de soins = estruturas de apoio sa de (cl nicas, hospitais) en banlieue parisienne = na periferia de Paris Selon le texte, les maisons de l adolescence ont le r le de ... 01. s occuper des enfants. 02. s occuper des adolescents. 04. recevoir des adolescents en consultations de tout genre. 08. s engager comme fauteurs de trouble. COPERVE/UFSC CONCURSO VESTIBULAR-UFSC/2003 PROVA 2 - AREIA 04) Signalez la (les) proposition(s) qui compl te(nt) CORRECTEMENT la phrase suivante: TEXTE 2 Dur d tre un professionnel ! Les maisons de l adolescence sont des lieux o les adolescents ... 01. sont accueillis en consul tations pluridisciplinaires. 02. peuvent tre soign s. 04. sont interdits d entrer. 08. refusent d tre orient s et soign s. 16. sont pris en compte et orient s. 05) Signalez la (les) proposition(s) VRAIE(S), selon le texte. 01. Les pouvoirs publics ne s occupent pas suffisamment de la question de l adolescence. 02. Les fauteurs de trouble ont besoin d une place sp cifique l cole. 04. Les structures de soin de p diatrie prennent rarement en compte les tr s jeunes. 08. Les fauteurs de trouble se trouvent en banlieue parisienne. 16. La maison de l adolescence du Havre existe depuis 2 ans. Anthony le Tallec a dix -sept ans et est joueur professionnel du club du Havre AC. Il a commenc le football sept ans apr s avoir regard un match la t l vision. Selon lui, le f ootball est un jeu d adresse* mais surtout un sport passionnant. Marquer un but* est incomparable , d clare-t-il, car on ne pense rien, on est inond de bonheur et port par des milliers de cris de joie. Anthony le Tallec a d but sa carri re l ge de treize ans. Ses parents ont d m nag au Havre ce qui lui a permis de vivre dans sa famille tout en tant dans un centre de formation. Il ajoute que le soutien* affectif et psychologique de ses parents est indispensable quand il rentre puis * le soir. Le moment le plus dur dans la carri re d un jeune sportif, c est autour de quinze ans, car le sport demande beaucoup de sacrifices. On ne sort presque pas, on a des horaires de fous, entre cole et entra nement, sans oublier que le soir il reste encore des devoirs faire. C est lourd et on a souvent envie d abandonner les tudes. Concilier les tudes et une carri re sportive semble* difficile mais il passera malgr tout le bac. Anthony le Tallec raconte que ses copains l ont toujours soutenu. Par contre, ses petites amies ne comprennent pas qu il n ait pas le temps de s occuper d elles. Aujourd hui il est heureux parce qu il fait partie d une bonne quipe et qu en 2003, il partira jouer Liverpool, en Angleterre. Son seul regret*: manquer de temps libre pour se reposer. (Texte adapt et extrait de Les cl s de l actualit , n. 488, 2002) 06) Signalez la (les) proposition(s) CORRECTE(S). Selon le texte, il est pr vu ... 01. qu il soit cr une maison de l adolescence dans deux ans. 02. que dans deux ans, au Havre, soit cr e une maison de l adolescence . 04. qu en 2003, il va s ouvrir, au Havre, une maison de l adolescence . 08. qu en 2003, il s ouvre une maison de l adolescence Paris. 16. qu une maison de l adolescence s ouvre pr s de l h pital Cochin. Vocabulaire: un jeu d adresse = um jogo de destreza, de habilidade un but = um gol le soutien = o apoio puis = cansado, esgotado semble = parece son seul regret = ele s lamenta LEMBRE-SE DE MARCAR NO CART O-RESPOSTA A PROPOSI ES QUE VOC CONSIDERAR VERDADEIRAS. SOMA DOS N MEROS ASSOCIADOS S COPERVE/UFSC CONCURSO VESTIBULAR-UFSC/2003 07) Signalez la (les) proposition(s) CORRECTE(S). PROVA 2 - AREIA 11) Signalez la (les) proposition(s) CORRECTE(S). Selon le texte, Anthony le Tallec ... Selon le texte, Anthony le Tallec ... 01. aime le football. 02. joue au club du Havre AC depuis 17 ans. 04. a commenc sa carri re 13 ans. 08. est joueur professionnel depuis 7 ans. 16. a commenc le football sept ans. 01. n habite pas avec ses parents. 02. vit Liverpool, en Angleterre. 04. joue dans une bonne quipe. 08. n a pas de temps pour ses petites amies. 16. a des horaires de fous. 08) Signalez la (les) proposition(s) CORRECTE(S). 12) Signalez la (les) proposition(s) CORRECTE(S). D apr s le texte, Anthony le Tallec affirme que ... 01. le foot est un jeu de hasard. 02. le foot est un jeu d adresse. 04. le foot est un sport captivant. 08. le foot est un sport ennuyeux. 16. ses copains l ont toujours encourag . D apr s le texte, Anthony le Tallec ... 01. aimerait avoir du temps libre pour se reposer. 02. concilie les tudes et le sport. 04. ne joue plus au football. 08. est heureux d avoir r ussi au bac. 16. rentre parfois puis le soir. 09) Signalez la (les) proposition(s) CORRECTE(S). Selon le texte, Anthony le Tallec d clare que marquer un but est un moment ... 01. unique. 02. ordinaire. 04. exceptionnel. 08. m diocre. 16. in galable. 32. difficile. 10) Signalez la (les) proposition(s) CORRECTE(S). Selon le texte, le jeune sportif ... 01. regarde beaucoup de t l vision. 02. ne sort presque jamais. 04. a besoin du soutien affectif de ses parents. 08. abandonne toujours ses tudes. 16. ne va pas l cole. 32. doit faire beaucoup de sacrifices. LEMBRE-SE DE MARCAR NO CART O-RESPOSTA A PROPOSI ES QUE VOC CONSIDERAR VERDADEIRAS. SOMA DOS N MEROS ASSOCIADOS S COPERVE/UFSC CONCURSO VESTIBULAR-UFSC/2003 PROVA 2 - AREIA L NGUA PORTUGUESA E LITERATURA BRASILEIRA Texto 1 QUADRINHOS O MELHOR DE CALVIN / Bill Watterson J que a mam e est doente, esta noite eu farei o jantar E voc sabe cozinhar? claro que eu sei. Como voc pode ver, eu sobrevivi durante dois anos fazendo a minha pr pria comida, quando morava sozinho, na poca da faculdade. A mam e disse que voc comia salsicha enlatada no caf da manh , almo o e jantar. Sua m e n o estava l . Ent o, ela n o sabe de nada. Pega o abridor de latas, por favor? O Estado de S o Paulo, S o Paulo, 12 jul. 2002. 2. cad. 13) Sobre os quadrinhos do Texto 1, assinale o que for CORRETO. 01. Da fala do primeiro quadrinho, infere-se que a informa o contida na primeira ora o j era partilhada pelos personagens naquele momento, mas a informa o presente na segunda ora o foi nova para Calvin. 02. O verbo saber aparece no segundo e no ltimo quadrinho com o significado de ter habilidade ou capacidade para fazer algo. 04. No segundo quadrinho, Calvin n o est simplesmente indagando sobre o fato de o pai saber ou n o cozinhar, mas tamb m colocando em d vida a habilidade do pai, devido a informa es pr vias de que o menino disp e. 08. Considere o ltimo quadrinho. O pedido do pai um ind cio de que o que a m e de Calvin tinha falado n o estava errado. 16. No per odo J que a mam e est doente, esta noite eu farei o jantar, existe uma rela o sem ntica de causalidade entre as ora es. LEMBRE-SE DE MARCAR NO CART O-RESPOSTA A PROPOSI ES QUE VOC CONSIDERAR VERDADEIRAS. SOMA DOS N MEROS ASSOCIADOS S COPERVE/UFSC CONCURSO VESTIBULAR-UFSC/2003 Texto 2 Como as m quinas v o interagir com a 1 gente? 5 10 15 20 25 30 35 40 Fazemos v rios experimentos no computador para que ele saiba para onde voc est olhando. A utilidade? Voc faz uma pesquisa num site de busca e encontra 35.000 refer ncias. Olha s as dez primeiras. Se o com putador monitorar a sua pupila e souber quais delas chamaram sua aten o, ele conhecer o tipo de informa o que voc procura. A filtrar os dados nos outros 34.990 links. E vai trazer as que mais lhe interessam como as pr ximas dez refer ncias . (...) E o que a tecnologia n o pode fazer? Nenhuma m quina jamais conseguir reconhecer integralmente a fala humana, com todas as suas nuan as. Quando conversamos, voc n o entende exatamente o que eu estou dizendo, mas sim a sua interpreta o sobre o que eu digo. Cada um de n s interpreta um poema de forma diferente e sente emo es distintas. O reconhecimento da fala depende do background cultural, das expectativas que voc tem, do quanto conhece a pessoa com quem f ala e da capacidade de perceber as ambi g idades nas declara es. Se nem mesmo a gente entende totalmente a fala do outro, por que a tecnologia compreenderia? A ambig i dade traz para voc interpreta es que dependem da sua mem ria e do seu conhecimento anterior. Se tentarmos calcular o volume de informa es comuns que n s temos, esse n mero t o grande que n o existe banco de dados que possa armazen -lo. imposs vel, ent o, fazer com que um computador tenha os conhecimentos que voc tem. Ali s, esse um grande desafio. Tamb m h coisas que nem queremos que a tecnologia resolva. N o quero um programa que interprete poesia por mim. JACOB, Jean Paul. Um futuro muito louco. Super Interessante, S o Paulo, n. 176, p. 80-81, maio 2002. PROVA 2 - AREIA 14) Considerando o Texto 2, CORRETO afirmar que: 01. No primeiro par grafo, a uma indaga o de car ter geral, o entrevistado respondeu com um exemplo. 02. Pode-se considerar que a segunda pergunta foi respondida de imediato pelo entrevistado, sendo que no decorrer do par grafo ele desenvolve, mediante apresenta o de argumentos baseados em fatos, a informa o inicialmente f ornecida ao rep rter como resposta sua pergunta. 04. O grande desafio (linha 38) a que o pesquisador se reporta ao final da segunda resposta fazer com que o computador consiga perceber as ambig idades presentes na linguagem humana. 08. O texto, uma entrevista jornal stica, est escrito em um registro formal, n o trazendo marcas de oralidade. 16. Encontramos pelo menos dois fen menos expl citos de varia o ling stica nos dois trechos do Texto 2: no primeiro, o uso de duas diferentes f ormas verbais para representar o tempo futuro, no modo indicativo; no segundo, o uso de duas diferentes formas de express o do sujeito para representar a primeira pessoa do plural. 15) De acordo com o Texto 2, (s o) VERDADEIRA(S) a(s) seguinte(s) proposi o( es): 01. Em ambos os trechos, o pronome voc n o est sendo utilizado como refer ncia espec fica pessoa do interlocutor, mas com sentido indeterminado, podendo referir-se a qualquer pessoa. 02. Os quatro sujeitos destacados no texto (voc , eu, n s, voc ) podem ser omitidos, sem causar nenhum problema de ambig idade na interpreta o de cada um dos enunciados. 04. No per odo Tamb m h coisas que nem queremos que a tecnologia resolva (linhas 38-40), a palavra sublinhada leva ao entendimento de que h dois tipos de coisas: aquelas que queremos que a tecnologia resolva e aquelas que n o queremos que a tecnologia resolva. 08. O voc bulo as, em E vai trazer as que mais lhe interessam (linhas 11-12), est funcionando como um artigo definido. 16. Pode-se substituir Nenhuma m quina jamais conseguir (linha 16) por M quina alguma jamais conseguir , sem que o sentido da frase se altere. LEMBRE-SE DE MARCAR NO CART O-RESPOSTA A PROPOSI ES QUE VOC CONSIDERAR VERDADEIRAS. SOMA DOS N MEROS ASSOCIADOS S COPERVE/UFSC CONCURSO VESTIBULAR-UFSC/2003 PROVA 2 - AREIA 16) Ainda conforme o Texto 2, marque a(s) propoTexto 3 si o( es) CORRETA(S). 01. Caso fosse aplicada, no Brasil, uma lei contra os estrangeirismos, sua aplica o incidiria, de imediato, sobre tr s diferentes palavras escritas no texto. 02. O termo sublinhado em A filtrar os dados nos outros 34.990 links (linhas 10-11) est funcionando como conector que encadeia as informa es no texto. Antes de mais nada, acho que querer ser milion rio n o um bom objetivo na vida. Meu nico conselho : ache aquilo que voc realmente ama fazer. Exer a atividade pela 5 qual voc tem paix o. dessa forma que temos as melhores chances de sucesso. Se voc faz algo de que n o gosta, dificilmente ser bom. N o h sentido em ter uma profiss o somente pelo dinheiro. 1 04. Na frase imposs vel, ent o, fazer com que um computador tenha os conhecimentos que voc tem (linhas 35-37), a palavra grifada desempenha o papel de adv rbio de tempo. DELL, Michael. O mago do computador. Veja, S o Paulo, n. 25, p. 11-15, 26 jun. 2002. Entrevista concedida a Eduardo Salgado. 08. O voc bulo para apresenta valores sint ticosem nticos distintos nas tr s ocorr ncias destacadas, em: a) Fazemos v rios experimentos no computador para que ele saiba para onde voc est olhando (linhas 3-5). b) A ambig idade traz para voc interpreta es (...) (linhas 29-30). 17) Sobre o Texto 3, assinale o que for CORRETO. 16. O pronome grifado no enunciado a seguir de terceira pessoa e refere-se a computador: E vai trazer as que mais lhe interessam (linhas 1112). 32. Se tomarmos as frases seguintes isoladas do seu contexto, a n o acentua o gr fica dos dois verbos sublinhados ocasionaria uma constru o inadequada apenas no primeiro caso: a) Se o computador monitorar a sua pupila e souber quais delas chamaram sua aten o, ele conhecer o tipo de informa o que voc procura. b) Nenhuma m quina jamais conseguir reconhecer integralmente a fala humana, com todas as suas nuan as. 01. Depreende-se, pela leitura do texto, que querer ser milion rio ruim, pois este desejo incom pat vel com o amor pelo trabalho. 02. Para o autor, as chances de sucesso em uma profiss o dependem da paix o com que ela exercida. 04. Se voc faz algo de que n o gosta (linhas 6-7) indica uma condi o. Se essa id ia for escrita seguindo a mesma forma de aconselhamento do autor, obteremos a seguinte constru o: Faz algo que voc goste. 08. O v oc bulo que exerce a mesma fun o sint tica nos dois casos: a) acho que querer ser milion rio n o um bom objetivo na vida; b) ache aquilo que voc realmente ama fazer. 16. Nas palavras paix o e acho, encontramos letras diferentes representando um mesmo fonema; j nas palavras paix o e exer a h uma mesma letra para representar diferentes fonemas. LEMBRE-SE DE MARCAR NO CART O-RESPOSTA A PROPOSI ES QUE VOC CONSIDERAR VERDADEIRAS. SOMA DOS N MEROS ASSOCIADOS S COPERVE/UFSC CONCURSO VESTIBULAR-UFSC/2003 PROVA 2 - AREIA 18) Sobre o Texto 4, o conto e a obra aos quais ele Texto 4 1 5 10 15 20 25 30 35 40 Seu corpo: espigad o, maljeitoso; o rosto: magro e um pouquinho verde-azulado, com alguma verruga sem maior gravidade; nas pernas e nos bra os: cabelinhos compridos, joelhos e cotovelos em ponta. Era Z lica Tavares. Mas no olhar bem escuro que ela imperava mais olhar mand o aquele seu, at queimante quando ati ado, olhar que cortava gente, animais e coisas. E era mulher distinta, das que mais o podiam ser; s que tinha esses ares de disposi o para crimes e viol ncias, que jamais fez ou faria, porque tudo era s um jeito, mais nada. Marivone, por exemplo: quantas vezes Marivone apanhou desde que foi adotada? Duas ou tr s palmadas curtinhas, algum pux o de orelha muito leve. N o pode nunca dizer, mesmo na pior raiva que ainda vier a ter, que n o viveu em lar harmonioso, severo na lei, mas harmonioso. E o marido, de que se podia queixar aquele homem? Da repugn ncia que ela teimava em sentir contra as bobices da moda, contra banhos de mar (essas mulheres peladas, que vergonha!), contra namoros por demais quietos, contra esses hereges que n o v o igreja ou que comem carne, s por deboche, nas sextas-feiras da Quaresma? Creso Tavares pouco ligava. Chateava-se mais, isso sim, era com a demora dela em apagar a luz, quando deitavam, ou em se p r vontade para se juntarem como Deus t o bem permite aos casais: Z lica aprendeu com a m e, e a m e com a av , que um ros rio no fim do dia limpa a alma e semente bem plantada. Creso n o discutia mat ria de f , quem era ele para tanto? mas ia sempre sentindo um sono e um cansa o com tanta ave-maria, que diacho!, e um mal-estar lhe tomava o corpo, chegava raiz da l ngua, formigava, e desmanchava-se enfim num resmungo e at mesmo neste ato de coragem: N o se precisa de luz acesa pra rezar, minha velha . pertence, VERDADEIRO afirmar que: 01. Z lica e outros um livro de contos representativo da literatura catarinense contem por nea, que retrata situa es de conflito vivenciadas entre nativos e turistas que freq entam a Ilha de Santa Catarina, especialmente no ver o. 02. Os personagens principais de Z lica e outros, com tra os de car ter e personalidade bem definidos, s o sempre identificados pelo nome e protagonizam com intensidade acontecimentos que exp em realisticamente a condi o humana, em epis dios que mostram: trai o, ego smo, chantagem, preconceito, ingenuidade, paix o, defesa da honra, teimosia, religiosidade, entre outros aspectos. 04. No conto Louren o Roxadel, que integra a obra de Fl vio Cardozo, o personagem Louren o, diante do fato de que seu filho estava inv lido para o resto da vida, manda a nora Diln ia para um convento, para manter a honra do filho. 08. No Texto 4, Z lica descrita minuciosamente, tanto em suas caracter sticas f sicas como em tra os de personalidade e conduta, com destaque para um elemento particular que caracteriza simultaneamente um atributo f sico e diferentes nuan as de comportamento. CARDOZO, Fl vio Jos . Z lica Tavares cuja filha, m eu Deus, que malvadeza. In: Z lica e outros. S o Paulo: F.T.D., 2001. p. 44-45. LEMBRE-SE DE MARCAR NO CART O-RESPOSTA A PROPOSI ES QUE VOC CONSIDERAR VERDADEIRAS. SOMA DOS N MEROS ASSOCIADOS S COPERVE/UFSC CONCURSO VESTIBULAR-UFSC/2003 PROVA 2 - AREIA 19) Em rela o ao Texto 4, assinale a(s) propoTexto 5 si o( es) VERDADEIRA(S). 01. Da leitura do excerto, depreende-se que a conduta de Z lica que mais incomodava Creso Tavares era a excessiva religiosidade, pois a reza da mulher colocava contrastivamente em evid ncia a falta de f do marido. 02. Na frase Chateava-se mais, isso sim, era com a demora dela em apagar a luz (linhas 28-30), os termos sublinhados f oram empregados para dar nfase informa o e podem ser retirados sem preju zo estrutura o sint tica do per odo. 04. As palavras espigad o (linha 1) e cabelinhos (linha 4) foram usadas, respectivamente, no aumentativo e no diminutivo, exprimindo emotividade. 08. A palavra tanto(a), apesar de flexionada diferentemente, funciona com o mesmo valor de intensifica o nas duas ocorr ncias sublinhadas em: Creso n o discutia mat ria de f , quem era ele para tanto? mas ia sempre sentindo um sono e um cansa o com tanta ave-maria (linhas 34-37). 1 5 10 15 20 25 16. A express o que diacho! (linha 37) traduz manifesta o do ntimo de Creso; uma locu o interjetiva. 32. A express o essas mulheres peladas, que vergonha! (linhas 23-24) indica a ocorr ncia de discurso indireto livre. 30 35 40 Ainda que viva cem, mil anos, n o esquecerei aquele dia em que, deitado no leito miser vel da cela B 17, a porta se abriu e dois soldados empurraram um corpo que logo se estatelou no ch o de ladrilhos. De in cio, nem parecia um corpo mas um saco, enorme e comprido, que desabou e, estranhamente, n o f ez nenhum ru do quando caiu. Ou, quem sabe, o espanto seria melhor dizer: o medo n o me deixou ouvir nada. Todos os meus sentidos ficaram resumidos no olhar um olhar que procurava entender n o o que estava vendo mas o que ainda poderia ver. Sempre que aquela porta se abria, alguma coisa poderia acontecer comigo. As duas refei es di rias eram colocadas numa pequena bandeja girat ria na parede ao lado, e nos quinze dias em que ali estava, a porta s se abria noite, para mais um interrogat rio. J tudo havia respondido, o que sabia e n o sabia, minhas informa es estavam sendo checadas, se elas n o fizessem sentido ou fossem julgadas insuficientes, eu com e aria a ser torturado. Das celas vizinhas, sobretudo durante a madrugada, eu ouvia os gemidos daqueles que voltavam do por o do quartel que o regime pol tico transformara em pris o. N o eram gritos, eram gemidos mesmo, que duravam horas. Mesmo assim, em certas noites, apesar de distantes, eu ouvia os gritos e ainda que viva cem, mil anos, jamais me esquecerei deles. (...) Que seria aquilo? , foi a pergunta que me fiz, logo reconhecendo que devia t -la f ormulado de outra forma: Quem seria aquilo? . O aquilo se justificava: n o era mais um corpo ali tombado, mas um tro o de carne ferida e, dentro dela, um enigma que eu nunca decifraria, nem mesmo agora, tantos anos passados. CONY, Carlos Heitor. Romance sem palavras. S o Paulo: Companhia das Letras, 1999. p. 11-13. LEMBRE-SE DE MARCAR NO CART O-RESPOSTA A PROPOSI ES QUE VOC CONSIDERAR VERDADEIRAS. SOMA DOS N MEROS ASSOCIADOS S COPERVE/UFSC CONCURSO VESTIBULAR-UFSC/2003 20) Considerando o Texto 5, assinale a(s) propo- Texto 6 si o( es) CORRETA(S). 01. As passagens um corpo (linha 4) / nem parecia um corpo mas um saco (linhas 5-6) e aquilo (linhas 34 e 36) refletem a banaliza o a que ficou reduzido o companheiro de cela do narrador, a perda de sua individualidade como ser humano. 02. Ainda que viva cem, mil anos, n o esquecerei aquele dia... (linhas 1-2). Cony inicia o romance lan ando m o de um recurso sem ntico com que explora o impacto causado pela presen a do corpo empurrado pelos soldados, para dentro da cela. Essa forma expressiva corresponde f igura de linguagem chamada eufemismo. 04. No Texto 5 foram empregados travess es como recurso de nfase. Os primeiros (linha 9) e o ltimo (linha 30), para separar uma express o que ratifica o enunciado anterior; o da linha 11, para realce. Todos esses travess es poderiam ter sido substitu dos por pontos-e-v rgulas, sem que o sentido do texto se alterasse. 08. Ou quem sabe, o espanto seria melhor dizer: o medo n o me deixou ouvir nada. (linhas 810). Nessa frase, os dois pontos ressaltam o sentimento de medo do narrador diante da cena presenciada. 16. As formas verbais em Ainda que viva (linha 1) e se elas n o fizessem (linha 22) est o flexionadas, respectivamente, no presente e no f uturo do subjuntivo, modo que retrata fatos incertos, hipot ticos. PROVA 2 - AREIA 1 5 10 15 20 Eram mil degraus irregulares de pedra, numa picada abrupta e estafante, que ele (Isa as) mesmo constru ra, dia ap s dia, at o alto, uma clareira de vista magn fica para os quatro pontos cardeais, onde soprava um vento eterno. Subia devagar, cada vez mais devagar, ajeitando matos e flores, podando ramagens, e sempre monologando, um resmungo sussurrado que ia dando sentido aos gestos e parecia criar, s pela for a da voz, um outro mundo. s vezes parava, sentava num degrau, tirava o cachimbo e o fumo e os f sforos de um bols o da t nica surrada, e fumava, pensativo; entre uma baforada e outra, redesenhava as linhas, as cores, os sons e as curvas das extens es da ilha s com um olho e a ponta do cachimbo riscando o espa o, a m o estendida. E pensava, tamb m, na tarefa dif cil que teria nos pr ximos dois meses, uma tarefa que exigia, como todos os anos, prote es maiores que simplesmente a for a do desejo. Distra do entre o desenho e o pensamento, batia o cachimbo na pedra, limpava-o com carinho, guardava-o e prosseguia a subida. TEZZA, Crist v o. Ensaio da paix o. 2. ed. Rio de Janeiro: Rocco, 1999. p. 10. 21) Considerando o Texto 6, assinale a(s) proposi o( es) CORRETA(S). 01. O romance do qual o Texto 6 faz parte difere do romance do Texto 5, quanto ao enfoque narrativo: Ensaio da paix o apresenta narrador de terceira pessoa, onisciente; Romance sem palavras, narrador em primeira pessoa. Quanto tem tica, no entanto, esses romances apresentam um ponto em comum: a poca em que o pa s viveu sob o regime militar. 02. No primeiro cap tulo do romance, Isa as sobe montanha, para adorar e exaltar a Deus, com quem tem um di logo respeitoso sobre a encena o da Paix o. 04. Predominam, no Texto 6, f ormas verbais do pret rito imperfeito do indicativo (como Eram, soprava e Subia, respectivamente linhas 1, 5 e 6), tempo que marca a o habitual ou cont nua, no passado. H , tamb m, formas do ger ndio (como ajeitando, podando, monologando, linhas 7 e 8), que indicam uma a o em curso. 08. O acento indicador de crase, em s vezes (linha 11), permaneceria, se a locu o adverbial f osse substitu da por Algumas vezes. 16. Substituindo os termos sublinhados, em ajeitando matos e flores, podando ramagens (linha 7), pelos pronomes obl quos correspondentes, obt m-se: ajeitando-os, podando-os. LEMBRE-SE DE MARCAR NO CART O-RESPOSTA A PROPOSI ES QUE VOC CONSIDERAR VERDADEIRAS. SOMA DOS N MEROS ASSOCIADOS S COPERVE/UFSC CONCURSO VESTIBULAR-UFSC/2003 PROVA 2 - AREIA 22) (S o) VERDADEIRA(S) a(s) seguinte(s) pro- 23) Assinale a(s) proposi o( es) VERDADEI- posi o( es), a respeito das obras de Manoel de Barros e de Guimar es Rosa: RA(S), relativamente s obras O Rei da Vela e Vidas Secas. 01. Em sua obra Livro sobre nada, Manoel de Barros prop e-se a fazer brinquedos com as palavras. Um dos recursos expressivos bastante utilizados pelo autor para concretizar seu desejo a cria o de palavras novas a partir da combina o de formas j existentes na l ngua, um processo gramatical que se pode perceber nos versos: As coisas tinham para n s uma desutilidade po tica. Nos fundos do quintal era muito riqu ssimo o nosso dessaber. 01. O Rei da Vela uma pe a teatral de Oswald de Andrade, composta em tr s atos, que focali za especialmente S o Paulo e Rio de Janeiro, mas reflete as rela es e crises existentes na sociedade brasileira dos anos 30. 02. Em todas as frases abaixo: Sou um sujeito cheio de recantos. Os desv os me constam. Tem hora leio avencas. Tem hora, Proust. Ou o aves e beethovens. Gosto de Bola-Sete e Charles Chaplin. O dia vai morrer aberto em mim. observa-se o uso expressivo da primeira pessoa, uma caracter stica bem evidente no Livro sobre nada, de Manoel de Barros. 04. Na obra O Rei da Vela, a intelectualidade representada por Pinote, que, cumprindo com seu compromisso social, combate vigorosamente a burguesia e defende a classe trabalhadora. 04. Uma das caracter sticas marcantes do Livro sobre nada o uso recorrente da ant tese, figura de linguagem que salienta a oposi o entre duas palavras ou id ias. Esse recurso estil stico pode ser observado em: no nfimo que eu vejo a exuber ncia. 08. Nos 21 contos de Primeiras est rias, Guimar es Rosa transcende os aspectos regionais representativos do interior mineiro, ao transformar o sert o numa met fora do mundo, onde os personagens, envolvidos profundamente com problemas de natureza pol tica e social, s o realisticamente caracterizados e objetivamente descritos. 02. Em O Rei da Vela, o casamento entre Helo sa e Abelardo I realizado por puro interesse e simboliza a uni o entre duas classes sociais: a aristocracia rural falida e a burguesia em ascens o, representadas, respectivamente, pela noiva e pelo noivo. 08. O livro Vidas Secas, do escritor Graciliano Ramos, costuma ser caracterizado mais como novela do que como romance, pois seus cap tulos apresentam-se encadeados em seq ncia l gica e cronol gica e retratam uma realidade externa din mica, com paisagens minuciosamente descritas. 16. Vidas Secas n o s representa de maneira exemplar a tend ncia modernista de uma literatura comprometida com a realidade social e regional, como tamb m extrapola o contexto espa o-temporal em que foi escrito, tanto para um plano nacional, ao retratar a realidade brasileira atual, marcada pela injusti a e pela mis ria, como para um plano universal, ao analisar profundamente a condi o humana diante da opress o social. 16. O primeiro e o ltimo conto de Primeiras est rias respectivamente As margens da alegria e Os cimos apresentam pontos de semelhan a e de contraste: o personagem principal o mesmo um menino que viaja para a casa dos tios , por m os sentimentos que o movem s o opostos pois, enquanto no momento inicial descobre alegremente a vida, no final sofre, devido doen a da m e. 32. Guimar es Rosa procura representar, em sua prosa po tica, a fala dos personagens do sert o mineiro, ao mesmo tempo em que cria e recria sons, palavras e estruturas sint ticas n o convencionais. LEMBRE-SE DE MARCAR NO CART O-RESPOSTA A PROPOSI ES QUE VOC CONSIDERAR VERDADEIRAS. SOMA DOS N MEROS ASSOCIADOS S COPERVE/UFSC CONCURSO VESTIBULAR-UFSC/2003 Texto 7 1 5 10 15 20 Tendo surpreendido na casa da Rosalina, em plena orgia, o terr vel diretor, vexei-o. (...) Percebi que o espantava muito o dizerlhe que tivera m e, que nascera num ambiente f amiliar e que me educara. Isso, para ele, era extraordin rio. O que me parecia extraordin rio nas minhas aventuras, ele achava natural; mas ter eu m e que me ensinasse a comer com o garfo, isso era excepcional. S atinei com esse seu ntimo pensamento mais tarde. Para ele, como para toda a gente mais ou menos letrada do Brasil, os homens e as mulheres do meu nascimento s o todos iguais, mais iguais ainda que os c es de suas ch caras. Os homens s o uns malandros, planistas, parlapat es quando aprendem alguma coisa, f sforos dos politic es; as mulheres (a no o a mais simples) s o naturalmente f meas. LIMA BARRETO. Recorda es do escriv o Isa as Caminha. 10. ed. S o Paulo: tica, 2001. p.157-158. Texto 8 1 5 10 15 20 25 30 O que a senhora deseja, minha amiga, chegar j ao cap tulo do amor, ou dos amores, que o seu interesse particular nos livros. Da a habilidade da pergunta, como se dissesse: Olhe que o senhor ainda nos n o mostrou a dama ou damas que t m de ser amadas ou pleiteadas por estes dois jovens inimigos. J estou cansada de saber que os rapazes n o se d o ou se d o mal; a segunda ou a terceira vez que assisto s bland cias da m e ou aos seus ralhos amigos. Vamos depressa ao amor, s duas, se n o uma s a pessoa... Francamente, eu n o gosto de gente que venha adivinhando e compondo um livro que est sendo escrito com m todo. A insist ncia da leitora em falar de uma s mulher chega a ser impertinente. Suponha que eles deveras gostem de uma s pessoa; n o parecer que eu conto o que a leitora me lembrou, quando a verdade que eu apenas escrevo o que sucedeu e pode ser confirmado por dezenas de testemunhas? N o, senhora minha, n o pus a pena na m o, espreita do que me viessem sugerindo. Se quer compor o livro, aqui tem a pena, aqui tem papel, aqui tem um admirador; mas, se quer ler somente, deixese estar quieta, v de linha em linha; dou-lhe que boceje entre dois cap tulos, mas espere o resto, tenha confian a no relator destas aventuras. PROVA 2 - AREIA 24) Considerando os Textos 7 e 8, as obras das quais foram extra dos, e seus autores, CORRETO afirmar que: 01. Recorda es do Escriv o Isa as Caminha, obra da qual foi extra do o Texto 7, critica a imprensa brasileira dos primeiros anos da Rep blica e denuncia a hipocrisia da sociedade de ent o. O romance Esa e Jac , ao qual pertence o Texto 8, aborda, ir nica e criticamente, os aconteci mentos hist ricos da transi o do Imp rio para a Rep blica. 02. S o comuns a Lima Barreto e Machado de Assis: a cita o de epis dios das hist rias geral e nacional, de personagens conhecidos da Literatura Universal e a men o de autores brasileiros e estrangeiros. 04. No Texto 7, percebe-se que Lima Barreto ironiza a discrimina o social e racial que sofriam os que, como ele, eram mulatos. J no Texto 8, Machado de Assis ironiza a leitora formada dentro da concep o rom ntica. 08. Recorda es do Escriv o Isa as Caminha, de Lima Barreto, caracteriza-se como uma obra de ambi ncia urbana do Romantismo, movimento liter rio de transi o, em que se iniciaram as tend ncias e os temas que se firmariam no Modernismo. 16. O romance Esa e Jac possui uma s rie de refer ncias b blicas, seja atrav s dos nomes dos personagens, seja por cita es diretas de passagens da B blia. 32. O Texto 8 marca o estilo realista de Machado de Assis, com sua provoca o constante ao leitor, para que este participe do que est sendo escrito. MACHADO DE ASSIS, J.M. Esa e Jac . 12. ed. S o Paulo: tica, 2001. p. 58-59. LEMBRE-SE DE MARCAR NO CART O-RESPOSTA A PROPOSI ES QUE VOC CONSIDERAR VERDADEIRAS. SOMA DOS N MEROS ASSOCIADOS S Vestibular de 2003 PROVA 2 - AREIA L NGUA ESTRANGEIRA (cor Areia) Quest es 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 01 X X X X X Proposi es 02 04 08 16 X X XXX XX X X X XX X X XX X X X XX XXX X X 32 64 Gabarito 10 28 06 19 17 24 21 22 21 X 38 28 19 L NGUA PORTUGUESA (cor Areia) Quest es 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 01 X X X X X X X 02 X X X X X X Proposi es 04 08 16 XXX X X X X X X X X X X X X 32 64 Gabarito 29 19 21 X 43 18 10 X 54 09 05 X 55 23 24 X X X X X X X 19 X 55

Formatting page ...

Formatting page ...

Formatting page ...

Formatting page ...

Formatting page ...

Formatting page ...

Formatting page ...

Formatting page ...

Formatting page ...

Formatting page ...

Formatting page ...

Formatting page ...

 

  Print intermediate debugging step

Show debugging info


 


Tags : ufsc vestibular, ufsc 2011, provas ufsc, ufsc provas e gabaritos, ufsc provas especificas, ufsc provas anteriores, vestibular brasil, vestibular provas, provas de vestibular com gabarito, vestibular provas anteriores, vestibular Gabaritos, provas de vestibular, vestibular provas e gabaritos, provas resolvidas, enem, fuvest, unicamp, unesp, ufrj, ufsc, espm sp, cefet sp, enade, ETECs, ita, fgv-rj, mackenzie, puc-rj, puc minas, uel, uem, uerj, ufv, pucsp, ufg, pucrs  


© 2010 - 2025 ResPaper. Terms of ServiceFale Conosco Advertise with us

 

vestibular chat